Les leçons tirées de mon potager (épisode 2) mes victoires et mes échecs

vendredi 6 mars 2020
Dans cet épisode je vous partagerait plus concrètement ce qui à marché (ou pas) et les changements que je vais tenter de mettre en place cette année. 



Ma liste des légumes magiques:
Magiques car ils sont faciles à planter, ne demandent presque pas d’entretien, sont résistants, se consomment au fur et à mesure et tard dans la saison… que demander de + ? 
J’ai nommé dans mon cas : betteraves rouge , panais, oignons et choux kale

Mon top 5 des légumes rentables :
- betterave rouge , chou kale, panais, oignon en bulbe , ail ( + les herbes aromatiques)
Mon Top 5 des « pas rentables »:
- Aubergine, melon, poivron, pois chiche, kiwano,  


Ma liste des "bien meilleurs que dans le commerce" :
Les physalis ! : reçu dans un mix de graines « légumes étranges » d’Amazon offert par ma belle-soeur à Noël. Je vous avoue je n’en espérais pas grand-chose. mais quelle découverte:  rien à voir avec ces pauvres fruits qui décorent  les desserts dans les restos. j’ai récolté pleins de petits fruits gorgés de soleil et délicieux… probablement mon nouveau fruit préféré.




Mes petites victoires inattendues:

  • Mon plant de patate douce : personne n’y croyait. Je m’y suis prise un peu tard mais oui j’ai eu des petites patate douces ! 
  • Pois chiches : certes le rapport temps/espace/récolte n’est clairement pas rentable pour 10 plants. J’ai récolté l’équivalent d’un bocal de pois chiches ^^ mais un humus de pois chiche maison et ça ça n’a pas de prix !!!! Et puis c’est une plante étonnante à voir pousser à toute vitesse. 
  • Le maïs pop corn : je n’y ai cru qu’une fois l’avoir fait éclater dans une casserole. Quelle satisfaction une soirée netflix et pop-corn maison !!
  • Haricots orteils de prêcheur. Je les ai plantés un peu tard car je ne trouvais pas de graines mais les plants ont donné des haricots vraiment impressionnants et délicieux.

Mes big fails : 
  • Ma serre en polycarbonate qui n’aura pas tenu qu'un mois et s'est envolée lors d' un orage mémorable.
  • Les aubergines qui n’ont pas appréciés l’envol de la serre.
  • Les brocolis et mon choux kale envahis de pucerons.
  • Rasberry spinach. Une plante sympa mais pas franchement délicieuse.


Ce que je change concrètement cette année : 


Cette année j’en plante + : 
Les physalis et des légumes magique je compte bien en semer d’avantage cette année: les pois mange-tout. 
Plus de fleurs ! Je me suis tellement focus sur les légumes l’an dernier que je n’ai pas pensé à en planter.
Le maïs pop-corn était aussi un beau succès mais apparemment si j’en plantais + et moi espacés ils supporteraient mieux le vent et auraient une meilleur fécondation. Je vais donc également mettre les bouchées double cette année.
Concombre: mais je sèmerai ceux-ci plus tard (eux non plus n’ont pas apprécié l’envol de la serre)
Des haricots et pois mange-tout: car avec seulement 3 plants de chaque il n’y a jamais assez pour faire un plat ou une salade à base de ceux-ci.
J’ai envie de tendre vers l’autosuffisance en panais, oignon, ail 

Cette année j’en plante - :
Tomates et aubergines : j’en avais planté beaucoup trop et elles demandent beaucoup d’entretien et d’eau.
Piments : ils ont très bien donné mais, ne mangeant pas spécialement épicé, un plant ou deux auraient suffit…. 
Poivrons : je les avais plantés trop près des tomates et celles-ci ayant poussé plus rapidement elles les ont privé de lumière.
Basilic : j’avais planté du classique, du géant, du pourpre et du lime. Ils ont tous très bien poussé mais il faut être honnête je préfère le basilique classique 

Je bouge mes plants : 
Je vais placer mes plantes aromatiques près de l’entrée : plus proche de ma cuisine mais également pour libérer de l’espace au potager.
Comme Damien Dekarz l’explique très bien dans son livre il faut penser à planter ce que l’on utilise souvent ou ce qui demande le plus d’entretien au plus proche de sa maison ou du chemin que l’on empreinte tout les jours. 
Je vais essayer également de les contenir dans des pots car elles ont une sacré tendance à tout envahir.

Je dompte les insectes :
Suite aux invasions de pucerons sur mes carottes, brocolis et choux kale je vais essayé de planter + de capucines et plus tôt. Certaines plantes attirent ou repoussent les insectes je vais donc essayer de mettre ça plus en pratique, mais également d’agir dés l’apparition des premiers insectes. Le mélange savon noir et eau super efficace mais il faut s’y prendre dés l’apparition de ces petits colocataires .




Mes lectures et vidéos :
-Damien Dekarz : ce gars est juste hyper chouette. Sa chaîne youtube est une mine d’or remplie de bienveillance et simplicité. Son livre est aussi à son image: "Permaculture au Jardin".
-Le potager d’Oliver : un autre passionné qui partage énormément 
-Le potager insolite Mathieu biggs : un livre qu’y m’a donné envie d’essayer pleins de légumes insolites (peut être un peu trop). Une très chouette idée cadeau.
-Produire toute l’année, Blaise Leclerc: ce livre m’a motivée à m’organiser dans mes semis mais clairement ce gars vit dans le sud de la France
- Les conseils de ma maman  "Mothers know best " ;-) 

Podcasts : 
Je suis preneuse de toutes vos recommandations en matière de podcast jardin mais en attendant vous pouvez écouter « bon plants », un chouette podcast qui fait plaisir au oreilles et qui part à la rencontre d’amoureux des plantes.

Voilà, j’espère que ce petit partage d’expériences sera utile à certains. N’hésitez pas à me partager vos expériences. 
Pour finir, je dirais que les règles sont là pour être contournées. Tout ce que je raconte est le résoutat de mon humble et mince expérience à ce jour,   n’hésitez donc pas à tenter vos propres expériences et suivre votre instinct ! YOU CAN DO THIS 

Les leçons tirées de mon potager (épisode 1)

mardi 25 février 2020

Cela faisait déjà quelques années, qu’entre deux voyages, je plantais dans mon petit carré potager des plants récupérés à gauche et à  droite. C’était tellement agréable en été d’avoir des aromates et quelques tomates à portée de main, quand on cuisine,  que j’en ai rapidement installé un deuxième. J’avais envie de semer mes propres graines mais je m’y prenais souvent en retard et finissais par acheter des vilains plants un peu tristounets du commerce.

Mais ça c’était avant.. L’année dernière une de mes bonnes résolutions pour 2019 étant de m’y prendre plus tôt et plus méthodiquement, j’ai donc décidé de mettre en place un plan d’attaque et de passer à l’étape supérieure dans mon potager. Ca évite de me dire en octobre « Oh mince j’aurais dû semer en juin des poireaux pour l’hiver ».

J’ai essayé d’être méthodique, et si ce mot vous fait peur, croyez-moi c’est l’adjectif qui colle le moins à ma personnalité. Mais à un moment si on veut des résultats il faut s’y mettre.

Je me suis donc munie d’un petit carnet dans lequel j’ai écrit tout ce que j’aimerais faire pousser. 
J’ai listé les graines que je devais donc chercher/acheter.
J’ai aussi écrit dans mon agenda quand je devais semer quoi (oui il y a des gens qui ont des rendez-vous importants dans leurs agendas, moi j’avais « semer aubergines »).
J’ai tenu (avec + ou - de rigueur) un rapport journalier des semences, germes, pousses , plantations, productions et bilan/remarques pour l’année qui suit. 
Et j’ai pris beaucoup  de plaisir à  faire tout ça !!!!

J’ai un  peu partagé de temps en temps tout ça sur Instagram, ce qui a créé pas mal d’échanges et ce qui m’amène aujourd’hui à partager les leçons que j’en ai tiré avec vous.


Les leçons que j’en ai tirées :


1. Keep some record :

Posez-vous. Réfléchissez, planifiez, notez…. Qu’avez vous envie d’avoir dans le potager ? Quand faut-il les semer ? Pensez également à la place que ça va prendre, aux associations que vous pourriez faire, au temps que vous voulez y consacrer.

 2. Planter ce que l’on consomme :

Ca parait bête mais on est parfois tenté de planter des légumes parce que ce sont des classiques, faciles à cultiver ou qu’ils sont originaux, alors qu’au final on n’est pas des grands consommateurs de ces légumes . Ca prend de la place au potager et de l’énergie pour rien! 
Exemple: chez nous ce sont  les carottes : voilà deux ans que je m’obstine à planter des lignes de carottes alors qu’on n'est pas des grands consommateurs. Résultat: on les récolte, elles restent dans le frigo, et la plupart d’entres-elles finissent au compost. Donc résolution 2020: moins de carottes et des semis + espacés.



  3. Préparer l’hiver :

Certes les tomates du jardin fraîches mozzarella basilic en été c’est le bonheur, mais fin septembre on se retrouve à nouveau au supermarché parce qu’on a oublié de planter des poireaux alors: pensez à l’hiver !
Les panais, les betteraves, les poireaux, les choux, les carottes, les courges ça se sème de février à juin les amis ! 
Je vous conseille donc de regarder pour chaque légume de votre liste quand semer ceux-ci, et de le noter dans votre agenda


4. Penser à la conservation :

En hiver vous serez tellement content d’avoir fait pousser de l’ail, des oignons, des pois chiches, des pommes de terre, du maïs pop corn à consommer toute l’année 



5. Trouver la méthode qui vous convient :

Carré potager, en pleine terre, en pots… 
Personnellement j’adore le carré (ou rectangle) potager. Ca me permet de m’occuper d’un espace bien délimité, facile à  désherber et esthétique. J’aimerais cultiver à même la terre mais je me fais vite envahir par les herbes, les rongeurs, les poules et puis je finis par marcher sur mes cultures car je ne parviens pas à y faire régner l’ordre. J’avais également très envie de planter en pots l’an dernier, mais j’ai quand même constaté une production bien plus importante sur les plants qui était en bac ou en terre. Et puis les pots si on oublie d’arroser : c’est fatal ! 


6. Le temps que l’on veut y consacrer : 

Certains légumes demandent plus d’attention que d’autres. Certains légumes sont très rentables dans le sens où vous pouvez les planter directement en terre sans passer par la case semis, et à peine les arroser,  et vous pouvez vous retrouver avec des récoltes impressionnantes, alors que vous n’avez finalement pas fait grand chose. Alors que d’autres légumes comme les aubergines demandent des semis à chaud, des sols exigeants, beaucoup d’arrosages et parfois du tuteurage, pour des récoltes qui peuvent parfois être minces ou très dépendantes des conditions météorologiques.


Dans le prochain article je vous partagerai ce que je change concrètement cette année et les sources youtube, livres et podcasts qui m'inspirent. N'hésitez pas à partager vos leçons et bons plans également !

Drone : mes premiers pas

samedi 28 janvier 2017


Etre raisonnable ne faisait pas partie de mes bonnes résolutions 2017, me faire plaisir oui.

Bon acheter un drone (cet espèce de gros insecte bourré d'électronique bruyant et volant) cela peut paraitre paradoxal venant de moi qui suis à priori quelqu'un de plutôt nature et qui je se réjouis des choses simples. Mais j'ai toujours aimé capturer les instants, figer les belles lumières, explorer et cela fait 2 ans que cette envie de filmer mon quotidien et mes aventures de plus haut m'obsède. En fait ce dont je rêvais c'était plutôt une caméra volante qu'un drone.

A la recherche du drone parfait

J'avais résisté jusqu'a présent car j'avais étudié le marché et selon moi j'avais 2 options : un petit drone relativement peu encombrant mais à la qualité d'image relativement décevante (Parrot bebop 2) ou une bonne caméra embarquée mais un drone encombrant que, me connaissant, j'aurais vite fini par laissé chez moi vu l'encombrement.
J'étais donc en stand by à attendre que la prochaine promo amazon ne finisse par décider pour moi lorsque François d'un sac sur le dos lors d'une visite du centre Belgo control m'a appris l'existence du petit dernier de chez DJI : le mavic pro.

Sur le papier voilà le parfait compromis :

- Pratique et transportable : grâce à ses bras pliants le Mavic pro de DJI ne dépasse pas 8,3 cm de large, 8,3 cm de haut et 19,8 cm de long pour 743 grammes soit à peu près l'encombrement d'une bouteille d'un demi litre (voir photo)

- Une bonne petite caméra : Bien qu'elle ai l'air minuscule et fragile sa petite caméra embarquée vous fait des images en 4K ( 4 x plus que la full HD) impressionnantes et surtout Extrêmement stables grace au stabilisateur 3 axes.




Bref j'ai craqué, ....

Comme je vous l'ai dit je savais que je voulais faire des images, par contre piloté un drone moi qui n'ai jamais été très manettes et jeux vidéo ça ne m'exitait absolument pas.

Heureusement l'application DJI, même si elle fait peur à première vue, est hyper bien faite ! D'abord on propose de vous entraîné dans un simulateur pour vous familiarisé avec les manettes, ensuite même lors de vos premier pas avec le drone vous pouvez choisir le mode "débutant" qui conservera le drone à une distance de 30 mètres maximum.

Piloter un drone c'est finalement beaucoup plus simple qu'on ne le pense.
On appuie sur un bouton et le drone décolle pour ensuite se stabiliser à 1m du sol.
Si vous ne touchez à rien il ne se passe rien. Pareil pour l'atterrissage il se stabilisé et analyse d'éventuels obstacles avant de se poser. Quant au vol le drone est muni de détecteurs pour éviter les obstacles, Dji propose également pleins de programmes intelligents type activetrack (vous lui indiquer la personne à suivre, le drone va suivre cette personne), Tapfly (vous lui indiquer la direction, la vitesse et vous pouvez lacher les manettes), et bien d'autres que je n'ai pas encore testé. Vous avez évidement une multitude de réglages manuels dont je ne maitrise encore rien mais c'est bien pensé et très personnalisable.

Alors il a des défauts ce bébé ? 

Ben oui quand même, bien que je le trouve bien mieux construit et plus solide que les autres drones grand publique que j'ai pu avoir en main (principalement Parrot et DJI) j'ai quand même un doute sur la longévité de la caméra stabilisée qui semble tellement fragile même si DJI fourni une fixation pour éviter qu'elle ne subisse les transports et une protection en plastique amovible pour protéger le tout.

La batterie, c'est le défaut de tout les drones, et même si celle-ci dure relativement longtemps sur le Mavic par rapport à ses concurrents (27 minutes) j'ai dés ma première sortie été frustrée de ne pas en avoir une deuxième.

C'est très chouette de regarder les images en 4K sur l'écran de mes parents, la définition est impressionnante. Malheureusement mon macbook est beaucoup trop vieux que pour pouvoir les travailler. J'ai donc du les réduire en HD et comme je suis pas la championne pour ça je pense avoir perdu pas mal de qualité au passage, ainsi qu'a l'exportation du montage ainsi qu'a la mise en ligne sur youtube... bref la prochaine fois je les prendrais direct en full HD.

Les images

Voici donc les résultats de mes trois premières sorties.
 C'est tout simple et encore un peu maladroit mais je suis contente d'avoir pu enregistré ces lumières d'hiver que j'aime tant. J'ai photographié les bois de Villers-la-ville des dizaines de fois mais le drone leurs donne maintenant une autre dimension plus vivant.
Je l'ai également emporté avec moi lorsqu'avec ma copine Zoé nous sommes allé à la recherche de lacs gelés pour patiner dans les Ardennes. Un très chouette moment tout simple que je suis contente d'avoir pu figé.
Et même si je regrette de ne pas avoir eut ce petit Mavic avec moi durant mes précédents voyages j'aime beaucoup l'idée de montrer les paysages simples et magiques en Belgique dans lesquels j'ai grandi. Montrer qu'il ne faut pas aller jusqu'au bout du monde pour se sentir un peu Wanderlust.




4 jours à Berlin

lundi 8 août 2016

Berlin, voilà une ville que j'avais envie de visiter depuis bien longtemps.
Je m'imaginais à la base y aller en hiver, j'avais l'impression que c'était une ville qui s'y prêtait plutot bien mais finalement nos agendas en ont voulu autrement et nous voilà donc en route pour Berlin, sur un légé coup de tête.




Arrivé à Berlin on était un peu perdu au milieu de ses énormes bâtiments. Heureusement nous avions loué un petit airbnb sous les conseils de notre hôte, nous avons rapidement découvert un tout autre Berlin. Un Berlin vivant où tout le monde se rassemble pour profiter des terrasses et de l'ambiance générale de cette ville bouillonnante.




Nous logions donc dans le quartier de Neukölln où faire le choix entre tout les petits restos relève du défis et où les amoureux et musiciens se partagent les sentiers qui longent le canal.
Si vous êtes de passage dans le quartier de bonne heure je vous conseille une petit déjeuner chez Roamers , où l'expression manger avec ses yeux prend tout son sens, ou plus simplement chez O.A.K , à deux pas de là, un petit café adorable et service charmant. En soirée les rues s'animent autour du canal et c'est une festival de terrasses qui commence.
Enfin croyez moi sur parole allez à Klinkerkranich , l'ancien parking du centre commercial transformé en rooftop, et profiter d'une vue imprenable sur la ville et d'une ambiance unique très Berlinoise.

Si je ne devais vous donner qu'un seul conseil pour Berlin ce serait : louer un vélo ! 

Berlin est une ville immense avec beaucoup de quartiers décentralisés qui valent le détour. De plus c'est une ville très plate donc aucune excuse pour ne pas vous y mettre. Nous avons ainsi pu facilement nous promener jusqu'au Spreepark (ancien parc d'attraction à l'abandon), profiter des parcs le long de l'eau jusqu'à la east side gallery histoire de s'immerger dans l'histoire et en retenir les leçon pour après passer l'impressionnant Oberbaumbrücke pour partir à la chasse aux graffitis et aux cafés dans le quartier de Friedrichshain-Kreuzberg.

Si je devais garder un souvenir unique de Berlin ce serait certainement l'aéroport de Tempelhofer Feld. Probablement le lieux le plus insolite que j'ai pu visiter dans ma vie.
Imaginez-vous le tarmac désert d'un ancien aéroport en plein milieux de Berlin. Une espèce de savane urbaine gigantesque proposant un lieu de rencontre unique pour les passionnés de sport en tout genre, un terrain de jeux pour les apprentis jardiniers, une véritable bulle d'air urbaine.








AVIS aux amateurs de street food, Berlin regorge de street food market et rassemblement de gourmand et tout genre. Malheureusement beaucoup d'entre eux ont prennent place durant le weekend mais nous avons quand même su régaler nos papilles en profitant d'un afterwork au Markthalle Neun.




Bref, Berlin une ville chargée d'histoire au lourd passé mais qui a laissé un terreau propice à la création où toutes les initiatives semblent prendre racines pour faire le coeur de cette vieille capitale !

J'ai testé pour vous : faire ses laits végétaux

vendredi 15 juillet 2016






Voilà quelques mois que ma dermatologue m'a conseillé d'éviter le lait de vache. Un vrai bouleversement d'habitudes pour moi qui était une surconsomatrice de produits laitiers du lever au coucher.

Mais au final ce changement s'inscrivait assez bien dans la démarche que j'avais commencé en janvier d'une vie un peu plus vegan exploitant moins nos amis les bêtes.
Je ne suis pas devenue complètement végétarienne : je n'arriverais jamais à dire non au bacon pour un petit déjeuner ou à l'odeur d'un barbecue mais cela reste occasionnel. Je n'ai plus envie de voir de la viande dans mon frigo puis je m'amuse nettement plus en cuisine depuis que j'évite la viande. Cela m'oblige à être plus inventive.


Bref, évidement quand je suis passé au lait végétaux, vous me connaissez, je me suis très vite posé la question : Et si je les faisait moi même ? 

Fourni par Blogger.
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